Création d’un pavillon inspiré par l’un de James Turell avec l’ajout d’une action quotidienne. L’objectif a été d’optimiser et de se servir du pavillon afin de profiter des avantages de ce même pavillon pour répondre au contrainte de l’action.

En étant radical sur la conception de cette maquette, j’ai pu optimiser les usages de l’escalade en gardant uniquement le nécessaire.

• Les vestiaires se trouvent directement dans les escaliers.
• Les marches sont doublées pour pouvoir y mettre ces affaires.
• Les blocs sont en haut de la toure avec une lumière naturelle à 360.
• Les voies se situent à l’extérieur toujours avec une lumière naturelle. Une fois en haut les grimpeurs ont une vision directe dans l’espace des blocs apportant l’aspect humain et compétitif de ce sport.

La maquette fait 26 cm pour 13 mètres dans le réelle. 

Bois, grillage en métal, pate autodurcissante, fil et bombe de peinture. 

Réalisation d’une paire de lunette à partir d’une plaque d’acétate de cellulose.

Poisson coffre jaune

Lamborgini countach

De l’expérimentation sur feuille avant d’arriver à une performance 

Ces 6 grands formats mon mise dans une grande remise en question. J’étais bloquée à les regarder sans s’avoir où allez, je pensais avoir épuisé le concept. 

Mais après discutions, j’ai remarqué l’énergie et le mouvement que dégage de ces peintures. ce qui ma amené a un travail de danse sur une plaque de terre.

La terre est devenu mon corps et la feuille la terre.

Créer un objet uniquement en cellulose. Une seule feuille autorisée, un A0. Découpe au laser et construction à la main.

Teste fait sur illustrator puis réalisé en papier

La languette horizontale n’était pas assez épaisse , trop longue. De plus avec les plis la languette ne passait pas dans les troues prévues. 

La languette verticale était trop petite, trop fragile et ne parvenait pas dans les trous prévues. 

La languette oblique se rapproche de la languette final néanmoins elle était trop fine.